16 septembre 2009
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Le singulier et le pluriel :
La langue française permet plein de choses, et notament des jeux de mots amusants. Je vous en livre quelques uns ci dessous
Un rat ? Des goûts
Un cas ? Des colles
Un pont ? Des râbles
Un flagrant ? Des lits
Une voiture ? Des mares
Un évier ? Des bouchers
Un scout ? Des brouillards
Un bond ? Des buts
Une dent ? Des chaussées
Un air ? Des confits
Un beau ? Des cors
Un mur ? Des crépis
Un vrai ? Des dalles
Un valet ? Des curies
Une passagère ? Des faïences
Un drogué ? Des foncés
Une jolie ? Des gaines

Un crâne ? Des garnis
Un frigo ? Des givrés
Une moue ? Des goûters
Un brusque ? Des luges
Un ministre ? Des missionnaires
Une grosse ? Des panses
Un propos ? Des placés
Une cinglante ? Des routes
Un fâcheux ? Des agréments
Un patron ? Des spots
Un délicieux ? Des cerfs
Une bande ? Des cinés
Un sirop ? Des râbles
Un argent ? Des tournées
Et ne pas oublier, bien entendu..... :
Une bière ? Des haltères
...Et quelques jeux de mots bien tournés.....
Les boulangers ont des problèmes croissants. Ils doivent se sortir du pétrin.
Chez Renault, la direction fait marche arrière. Les salariés débrayent.
A EDF, les syndicats sont sous tension.
Chez Tampax: coup de sang de la CGT.
Les bouchers se battent pour défendre leur bifteck.
Les éleveurs de volaille sont les dindons de la farce. Ils en ont assez de se faire plumer.
Pour les couvreurs, cette nouvelle loi est une tuile.
De fil en aiguille, les couturières n'ont plus de couverture sociale.
Les plongeurs en ont ras le bol d'essuyer des refus.
Les éleveurs de chiens sont aux abois.
Les brasseurs sont sous pression.
Les cheminots menacent d'occuper les locos. Ils veulent conserver leur train de vie.
Les veilleurs de nuit en ont assez de vivre au jour le jour.
Les pédicures travaillent d'arrache-pied pour de faibles revenus.
Les ambulanciers ruent dans les brancards.
Les pêcheurs haussent le thon.
Chez les armateurs, c'est la galère.
Les géomètres entendent prendre des mesures énergiques.
Les architectes sont déçus du plan de relance.
Les enseignants veulent être maîtres du terrain.
Les musiciens gardent la mesure mais refusent qu'on les fasse chanter.
Les pharmaciens veulent être payés au cachet.
Les palefreniers sont à cheval sur leurs principes et revendiquent leurs droits de manière cavalière.
Les militaires restent sur leurs positions. Pour eux, c'est la bérézina!
Les ponctions sur les salaires des infirmiers les rendent malades.
Les médecins ne sont plus guère patients.
Les chercheurs ne s'y retrouvent plus.
Le moral des pilotes est en chute libre.
Les facteurs se sont affranchis.
Les agriculteurs cultivent leur hargne.
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2 - Ca marche aussi... pour les brunes!
Un couple qui sort peu, va fêter l'anniversaire de son mariage au restaurant.
> En attendant la commande, ils jettent un coup d'oeil sur leurs voisins.
> La blonde se penche, pousse du coude son mari et souffle d'un air ravi :
> - Regarde à la table du fond, je crois que c'est Victor Hugo!
> Le mari, d'un air consterné :
> - Mais enfin, ma chérie, Victor Hugo... il est mort !
> - Ah... tu en es sûr ? (d'un air de doute)
> La commande arrive, ils commencent à manger, puis soudain nouveau coup de coude :
> - Non, non, regarde... Il a bougé !
Monsieur et sa blonde sont en train de manger dans un restaurant chic.
> Madame lui chuchote à l'oreille :
> - Chéri ... qu'est-ce que tu dirais de faire l'amour à trois ?
> - L'homme hésite longtemps,
> puis, observant sa belle qui est bien mignonne lorsqu' elle est tout excitée comme ça ...
> se penche et lui murmure finalement :
> - D'accord, si tu y tiens vraiment. C'est pour te faire plaisir.
> - Elle s'exclame alors :
> - YOUPPIIIIIIIII !!! 1, 2,... et 3 !!!


